Purgatoire

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29 réponses à Purgatoire

  1. Jenny dit :

    Toujours en plein dans le mille!
    Quand on entend depuis l’enfance « fais quelque chose », « il faut que tu sortes » alors qu’on lit, qu’on dessine ou qu’on joue, ça finit par s’imprimer et devenir notre propre voix intérieure.
    Hâte de voir tout ce qui va ressortir de ton âme rassasiée;)

  2. Carole dit :

    J’aime beaucoup c’est exactement ce dont j’avais besoin !!! Si ce n’est pas une coïncidence … 😉

  3. C’est tout moi! Lol, moi aussi, j’ai beaucoup de choses à faire mais j’apprends à discerner l’envie qui va avec. Et en lisant ta BD, je me demande si tous ces multiples projets que j’ai ne serait pas en rapport avec une phrase critique que mon père m’a dit, plus jeune…
    Sinon, tu connais la pratique hoponopono? Je te la conseille vivement! Elle permet de nettoyer les mémoires qui ont créé ce « il faut »/ »j’ai peur », y a pleins de livres dessus qui pourraient faire partie de ta bibliothèque (qui soit disant passant est vraiment très intéressante).
    Je fais de la méditation moi itoo!

    • Mélanie dit :

      Ça fait un moment que j’en entends parler, de cette pratique , je crois que je vais me commander un ouvrage ! Merci pour ton conseil Aline ☺

  4. Je traverse ça depuis un bon moment, ça fait sourire de voir que je ne suis pas le seul 🙂 Supers dessins Mélanie merci ^^

  5. Polina dit :

    Tu viens exactement de décrire ce que je ressens, c’est dingue ! Avant, à l’école, on pensait à ma place : du coup je savais quoi faire de mes journées et je me sentais HEUREUSE de ne rien faire, quand j’en avais l’occasion après les cours.

    Désormais, même si je suis salariée, NE RIEN FAIRE en week-end vire au cauchemar… Comme si je ne savais plus quoi faire pour m’occuper l’esprit ! Comme si je me « devais » d’être productive … en dehors du travail y compris. Sinon, c’est le vide, comme tu dis, que chacun cherche à combler selon ses envies du moment. Mais j’apprends, j’apprends doucement… à décompresser et ne rien faire. Je crois que l’on s’est tellement « adapté » au rythme que nous impose la société depuis que l’on est jeune, que l’on a fini par en perdre notre rythme biologique. Du coup, on se plaint quand on est overbooké mais on s’ennuie quand on n’a plus rien à faire : où est le juste milieu ?

    • Mélanie dit :

      Possible ton explication, ça doit beaucoup jouer ! Après je remarque que ça ne fait pas ça pour tout le monde, par exemple mon cousin Dan est étonné que je me pose la question  » maintenant qu’est ce que je fais ? » Puisque lui il sait toujours de quoi il a envie (jouer aux jeux video), ça ne le préoccupe pas que ça soit productif ou pas. En fait il se pose pas de questions ☺ y a peut être de la sagesse la dedans aussi

  6. Amélie dit :

    Bonsoir Mélanie,
    Je viens de découvrir ton blog et tes BD et je voulais t’envoyer mes encouragements à poursuivre cette voie.
    Je partage tout à fait ton questionnement existentiel. Je pratique moi aussi la méditation et je trouve que ça nous met effectivement face à la difficulté qu’on a à s’autoriser de ne rien faire étant donné nos conditionnements… et pourtant, quoi de plus précieux que goûter à la simplicité de ne rien faire et de juste être un être humain posé sur la Terre ! 🙂
    Bonne continuation à toi !

  7. Carole dit :

    Ah mer**, je me reconnais trop dans cet article ! ^^ Ceci dit, je n’en avais pas conscience avant de te lire ! Je ne compte pas le nombre de fois où, en vacances ou en week-end, je saoule les gens autour de moi avec mes questions du genre : « On fait quoi aujourd’hui ? On fait quoi après ? » :/

    Mais le passage « je me sens bien donc ça me donne ENVIE de faire des choses », ça fait longtemps que je l’avais identifié chez moi aussi ! 😉

    Bref, j’aime beaucoup cette … « planche » ? C’est comme ça qu’on dit ? Cet épisode de ta BD quoi ! 🙂

    • Mélanie dit :

      Oui on va dire épisode mais dans le monde des blogs bds on parle aussi de « notes » ☺. C’est vrai que toi ça doit faire un moment que tu connais bien la sensation de bien être ! Je me suis demandée d’ailleurs si une séance d’équitation te procurait le même bien être qu’après une séance de course. Aller on est sur la bonne voie pour apprendre à rien faire ! Ou à faire en ayant l’impression de ne rien faire ( Le Best du Best je crois)

      • Carole dit :

        Malheureusement, l’équitation ne procure pas le bien-être qu’on ressent après la course. Même si c’est physique (j’ai souvent des courbatures aux cuisses ou aux épaules), il n’y a pas le côté « cardio » qui fait qu’on est zen après.
        Par contre, dès que je suis avec ma jument, je ne pense à rien d’autre. Comme si tout le reste s’effaçait. Alors qu’en courant, tu peux psychoter sur les soucis, trouver des solutions, prendre du recul, etc. A cheval, tu n’as pas d’autre choix que d’être 100% connectée à ton cheval ! Donc c’est un autre genre que le running mais je classe ça dans la catégorie bien-être, sans hésitation ! 🙂

        • Mélanie dit :

          je peux imaginer ce que tu ressens avec Maya 🙂 (si je me souviens bien du nom). ça me donne envie d’avoir un animal de compagnie !
          tu as donc une activité bien être en plus dans ta palette, et qui te correspond en plus, franchement c’est top !

  8. Art-mella dit :

    Géniale BD, Mélanie !
    J’adore.
    J’y ai repensé plein de fois ces jours-ci car je suis aussi dans une période où je ré-apprends à mettre dans mon emploi du temps des choses qui me font « pétiller de joie ».
    (J’adore le « que des choses qui me font bander ! » hahaha !!! Trop bon !)

    Tiens, c’est marrant, la voiture à deux vitesses ! Je parle du même phénomène, avec une voiture aussi, mais c’est le frein à main ! Une idée que j’ai eu en Australie… je connaissais même pas Bruno Lallement ! C’est fou ça ! ^^

    En tout cas bravo pour ta BD. C’est si expressif et si vrai ! ça me touche profondément !

    • Mélanie dit :

      Bruno Lallement c’est le premier coach en développement personnel que je suivais sur Youtube il y a 2 ans ! Je le trouve simple, humble, drôle, je l’aime beaucoup.

      ça me rassure à chaque fois quand je lis que tu vis les mêmes choses que moi, étant donné qu’on a un peu les mêmes activités 🙂

  9. Flore dit :

    Merci <3
    Merci merci merci <3 <3 <3 <3 <3 <3 <3 <3 <3 <3
    Je me retrouve tellement dans ces histoires, des BD
    J'adore le graphisme, le texte, l'auto-dérision
    J'aime le recul, le chemin, qui me parle beaucoup.
    Je suis dans le même bateau 🙂
    (je suis à mon compte, dans mon cas j'anime des ateliers pour les parents et pros, et je constate la même chose : plus je me rapproche de qui je suis, plus ça marche ! )
    J'ai écrit quelques phrases de la dernière BD sur mon miroir pour m'en souvenir, celle sur l'ETRE humain et celle sur le boulot et "qui tu es".
    Je crois que je vais imprimer cette BD de haut en bas pour m'en souvenir ! Je l'adore, les autres aussi, mais celle là est tellement drôle, sensible, attendrissante, humaine, pleine d'humanité et aussi de trucs et outils pour faire son chemin. Un mix détonnant, et soutenant. J'aimerais pouvoir faire un journal créatif de la sorte ! 😉
    A très bientôt camarade moussaillon !

    • Mélanie dit :

      Bonsoir Flore !!

      super, j’ai vraiment bien fait d’avoir recopié ces citations !
      🙂 merci pour ton commentaire, il illumine ma soirée 🙂

  10. clairebelgato dit :

    Ce que tu évoques (notament la peur de ne rien faire) me rappelle une citation de Pierre Rabhi: « L’être humain a véritablement besoin de vie et de temps pour ne rien faire. Nous sommes dans une pathologie du travail où toute personne qui ne fait rien est forcément un fainéant ». Si tu as l’ocasion de lire ses livres, je pense que ça pourait t’intéresser !

  11. Salomé dit :

    Mais qu’en est-il quand le cerveau se cache derrière le masque du cœur?
    Je m’explique: pendant une certaine période de ma vie, je prenais mon pied à bosser, réviser, être performante, pas manger, maigrir, aller courir au réveil, voir beaucoup moins les amis, etc. Qui me dirigeait? La raison ou le désir? J’avais l’impression que c’était les seules choses que j’aimais faire (bon avec quand même un certain sentiment de « c’est pas normal avant j’y arrivais pas et là ça devient ma passion, c’est pas vraiment moi »..).
    C’est ton dessin avec des livres, altères et pomme qui m’a fait penser à ça. C’est toujours très difficile de distinguer ce que l’on désir par essence, de ce que l’on désir par éducation, parce qu’on a appris que c’était bien d’aimer ça et qu’on finit par l’intégrer et y croire vraiment, au point d’en éprouver de la joie. Quelle est cette joie? Joie directement liée au plaisir de l’acte, ou joie liée aubrssenti que l’on est bien conforme à l’image que l’on voudrait de soi-même? La finalité est peut être ce qui compte le plus: kiffer. Mais dans mon exemple c’était une grosse imposture… pas facile facile tout ça.

    Un grand merci en tout cas

    • Mélanie dit :

      C’est très très très intéressant ton commentaire. Je dirais que tu aimes l’image que tu te renvoies de toi-même (« je me vois en train de faire ces choses si bien et si valorisées, qu’est ce que je suis cool qu’est-ce que je suis honorable qu’est-ce que je suis chouette , je mérite des applaudissements ») , c’est un peu narcisse amoureux de son reflet. Et peut-être qu’à un certain stade c’est ta manière de prendre du plaisir dans la vie parce que tu ne connais pas autre chose. Jusqu’à ce que tu découvres cet autre chose

    • Salomé dit :

      Bon désolée, j’avais pas lu l’épisode suivant

  12. sisi dit :

    Mélanie, tu travailles pour toi mais tu travailles aussi pour nous.
    Un vrai bonheur de voir qu’on n’est pas seul, je te comprends tellement!
    En plus, tu es drôle à mourir… (de rire 😉
    Merci pour tout ce partage!!!

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