Le monde des Grands (4)

Suite du Monde des Grands (3)

Addictions, gros cul et première expérience en salle de sport. J’ai vite compris que c’était pas mon truc.

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15 réponses à Le monde des Grands (4)

  1. Polina dit :

    Mél, tu es mon petit éclat de lumière ce lundi matin ! Merci de me faire rire pour faire bosser mes abdos au bureau ;)…

    • Mélanie dit :

      Et mon bonheur de ce lundi c’est ton commentaire Polina !
      Ravie de t’avoir fait travailler les abdos, ça t’économise une heure de roue de Hamster ! 😀

  2. F6 dit :

    Je lis tes histoires avec beaucoup de plaisir et je me reconnais bien. Les crises existentielles ça me connait. (Sauf que je fume pas, parce que ça me dégoute 😉
    Continue, c’est vraiment top !

  3. Waieu dit :

    J’ai trouvé « pire » : aller à la salle de sport… du taf. Bon ok, c’est moins cher mais tu restes plus longtemps au travail pour de l’effort physique brrr. J’ai laissé tomber, je fais mon sport chez moi, devant un replay de gym, c’est plus sympa.
    Cet épisode avec le hamster et la transformation en blob m’a bien fait rire, ça donne un certain équilibre avec les parties précédentes.
    Bon sinon je l’ai déjà dit sur Twitter, alors je me répète : j’adore ta BD, ça décrit bien ce que je vis et c’est limite rassurant de voir qu’on est pas seuls dans ce cas 😀

    • Mélanie dit :

      merci Waieu pour ton commentaire ! C’est un immense plaisir pour moi que mes BDs soient lues et c’est encore plus gratifiant quand j’ai des retours comme les tiens !

      J’espère que la suite va te plaire…

  4. Ping : Le monde des Grands (5) | Je veux vivreJe veux vivre

  5. Catherine dit :

    Un vrai film de Resnais !
    TataSam qui te félicite pour ta planche.

  6. Cfdev dit :

    J’adore la comparaison avec les hamsters, c.est tellement vrai.
    Les coups de colère de Mel me font marrer :).
    Bravo Melanie!

    • Mélanie dit :

      Haha !!! 😀
      Sur le coup ce n’est jamais drôle d’être en colère, mais redessiner ces pensées et ces « pétages de plomb », c’est vraiment fun car j’ai du recul sur ces événements 🙂
      Merci pour ton commentaire Cfdev

  7. Sarah dit :

    Coucou !
    J’ai commencé à bosser il y a quatre ans et j’ai vécu exactement la même chose. Tout pareil : ca commence par le stage ennuyeux, on claque la porte, on se résigne, le corps se ramollit, l’horreur de s’en rendre compte, manger le soir, dormir.
    J’apprends en ce moment à composer avec la vie de bureau, a l’accepter, à y trouver de l’excitation je ne sais pas …
    Je sens bien que le corps demande à bouger autrement que par le sport imposé « pour pas grossir »
    En tout cas c’est génial de te lire.
    Sarah

    • Mélanie dit :

      Salut Sarah,

      il est très intéressant ton commentaire, tu veux dire que toi tu as choisi de garder ta situation, mais tu as changé ton regard sur tes activités quotidiennes ?

      Merci pour ton message 🙂

  8. Stanislav dit :

    Moi aussi comme le décrit Sarah dans le commentaire précédentь j’ai appris plutôt aimer ce que je fait maintenant. Même au bureau. Même avec certaine routine. Il y avait un moment quand je pensais que je dois obligatoirement me diriger vers l’activité indépendante: ouvrir une affaire à moi, créer une entreprise etc ou même faire de nouvelles études et de devenir psy. Mais les pensées à propos de tout ça me faisais énormément de peur. Les conflits intérieurs allaient jusqu’aux crises de panique, dépressions, même hospitalisation. Maintenant je découvre que cela me peut faire plaisir de travailler en équipe, cela me donne le sentiment d’être dans une grande famille, je ressens ma participation dans création de quelque chose grande, intéressante, utile à beaucoup de gens. Et je ne fais plus la pression sur moi même avec ce que je dois faire ou que je dois dans tout prix me lancer dans une activité indépendante. Peut être je vais le faire plus tard, mais pour le moment je suis bien comme ça. Et avec ça j’ai beaucoup moins de conflits intérieur.
    Je partage avec toi l’idée (je l’ai vu dans ton blog) que la chose principale est d’abord d’apprendre à « être » et « faire quelque chose » c’est la chose secondaire.

    • Mélanie dit :

      ça dépend des personnalités ! Pour moi Indépendant c’est vraiment super. J’ai tellement besoin de faire les choses comme je veux quand je veux et me réveiller sans réveil. ça fait parfois très peur de ne pas avoir de cadre du tout mais pour rien au monde j’abandonnerais le statut freelance pour salarié 🙂

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